
640 pages bien tassées, pour un premier volume qui ne couvre que huit années du Journal que Jean-Patrick Manchette a tenu jusqu’à sa disparition, en 1995 : on espère que les Éditions Gallimard auront le bon goût de poursuivre leur louable effort, et que nous pourrons bientôt lire la suite. Car ce Journal est passionnant.
Christophe Mercier
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