
Au lieu d’étendre les couleurs avec soin, comme sur un mur ou sur une porte, il choisissait un pinceau fin et déposait sur le carton de petites touches de tons purs. Car il restait hanté par les couleurs pures. Elles n’étaient jamais assez claires, assez vibrantes à son gré. Il aurait voulu les voir frétiller.
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Après s’être goinfré au fil du temps des dizaines et des dizaines de romans de Simenon, on sait que dans le pire des cas, c’est bien foutu.
Parfois, c’est d’un intérêt considérable.
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