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— Dès qu’on se repose un peu, crac, elles arrivent. Y a pas d’repos pour nous. C’est perpète.

Calmos reste la grosse connerie de ma vie. Le scénario était bon, mais je n’avais, pour le tourner, ni le fric, ni les acteurs […] Tout ça manquait de vigueur, de folie. C’était un film kubrickien, vous savez, avec tout un univers à construire, sauf qu’on n’avait pas les moyens de Kubrick. Et que je n’avais pas son talent. — Bertrand Blier

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