
L’art de la citation, du dédoublement et de la mise en abyme, cher à l’auteur de Snake Eyes, atteint des sommets de virtuosité dans ce thriller paranoïaque à entrées multiples. Roi du mixage (de sons, d’images, d’influences), De Palma signe l’un des meilleurs films américains des années 1980, magnifié par la photo « en couleurs en noir et blanc » de Vilmos Zsigmond. — Jérémie Couston
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