
Embrouille portuaire et brumeuse, avec un prolétaire taraudé par des états d’âme et une tapineuse sentimentale, entre autres ingrédients malaxés un tantinet trop longuement, mais avec un savoir-faire indiscutable, par une bande de gens de qualité.
L’aventure aime la nuit
Car elle a besoin de l’ombre
A l’affût dans les coins sombres
Elle guette, elle choisit
On entend sonner minuit
La brume devient épaisse
L’aventure se redresse
Tout d’un coup, elle bondit
La voici le long d’un quai
C’est un vol ou c’est un crime
Il lui faut une victime
Nul ne peut lui échapper