
La douceur du saxophone mièvre qui ouvre les festivités contraste avec la cruauté de l’ensemble, enclenchée dès les secondes qui suivent. Ensuite, tout n’est que cynisme et violence, manipulation et misanthropie militante.
Ne croyez pas ceux qui ont dit ou écrit que l’ultime film de Sam Peckinpah était une daube. Et pensez à vous méfier de vos amis.
Méfiez-vous de vos écrans, aussi.
0