
En vieil animal blessé demandant grâce, Charles Vanel est époustouflant. On pense à Albert Camus, à sa vision de l’homme : un condamné à mort lucide qui trouve dans le défi une raison d’avancer, d’exister. – Guillemette Odicino*
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En vieil animal blessé demandant grâce, Charles Vanel est époustouflant. On pense à Albert Camus, à sa vision de l’homme : un condamné à mort lucide qui trouve dans le défi une raison d’avancer, d’exister. – Guillemette Odicino*