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Ce que vit banalement, au quotidien, Enrique Rodríguez Ramírez – la rupture avec son épouse ou l’affrontement avec des collègues basques cherchant à absoudre l’ETA – n’imprime que plus de relief à ses très inventifs passages à l’acte, qu’il nomme sobrement « bloody painting » ou « puzzle murder ». Une ironie incisive infuse dans le dessin de Keko, un noir et blanc dense, atmosphérique, avec des ponctuations de rouge en éclaboussures macabres ou taches subreptices. Elle décale avec une audace très contrôlée (voir le fulgurant paradoxe final) cette histoire savoureusement cauchemardesque. – Jean-Claude Loiseau*

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