Then there’s Junior Bonner (1972), Sam Peckinpah‘s relaxed, lazy-boned, sardonic vision of American rodeo culture, made as if on vacation between the spiteful nightmares of Staw Dogs and The Getaway […]. Steve McQueen‘s reticent personality and hypnotic physical grace are in perfect service, and the air of authenticity is stinging.Michael Atkinson

A la fuite dans l’espace habituelle aux héros de Peckinpah, Junior Bonner ajoute la fuite dans le temps, Junior et son père niant le présent […]. Ces “dinosaures” doivent faire face au monde moderne — comme les héros de Coups de feu dans la sierra, de La Horde Sauvage et d’Un Nommé Cable Hogue […]. Nonobstant de saisissantes scènes de rodéo, Junior Bonner est le film le moins spectaculaire (et le moins violent) de Sam Peckinpah, mais aussi le plus nostalgique.Jean Tulard

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