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Dans le Pigalle des années 50, le spectateur est prié de suivre les aventures d’un petit escroc qui tente de déjouer les manigances du milieu de la drogue. Un soir, l’épouse d’un trafiquant ayant pignon sur rue est tuée. Malheureusement pour lui, notre voyou sympa était sur place (…) Assez ennuyeux, d’autant que le spectateur doté d’un minimum de neurones devine immédiatement qui a tué la malheureuse
. – Sal Obscur*

Les nuits de Montmartre s’éclairent au néon
Qui roule des foules dans un tourbillon
Les nuits de Montmartre explosent de bruits
Des rires déchirent le ciel de Paris
De Pigalle à Blanche, de la place du Tertre à Clichy
Les rues sont pavées de nuits blanches et le plaisir à tous les prix
Les nuits de Montmartre, dés qu’il se fait tard, sont étoilées d’espoir
La France sans Paris serait un corps sans âme
Mais Paris sans Montmartre serait un cœur sans joie
Patrie des couche-tard qui perpétuent la flamme
Du renom qu’il se fit depuis longtemps déjà
Danseuses et chanteurs, musiciens et poètes
Obscurs mannequins ou peintres de génie
Font par leurs mots d’esprit le sang de leur palette
Afficher au grand jour le charme de ses nuits
Les nuits de Montmartre s’éclairent au néon
Qui roule des foules dans un tourbillon
Les nuits de Montmartre sont semés d’amour
Je t’aime, tu m’aimes, jusqu’au petit jour
Ça court, ça chahute, l’aventure nous barre le chemin
Et l’amour fait faire la culbute à tous nos soucis quotidiens
Les nuits de Montmartre font frissonner de joie
Le vieux Paris
Au cœur ardent qui bat

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