
Tous les spécialistes vous le diront, quand un des méchants est masqué, le drame gagne en intensité. Un autre méchant doté d’un rire sardonique, à la limite de l’hystérie, c’est très bien aussi, quoiqu’un peu agaçant à la longue. On peut aussi en emplafonner un autre dans le piano de la comtesse toutes les cinq minutes, c’est dans le ton, ça ne saurait nuire. Ça camouflera d’ailleurs, tant bien que mal, l’absence de scénario et la très faible proportion d’acteurs crédibles présents au sein de la distribution. Notez bien qu’on badine, on ne dit pas de mal : on sent que le tournage a dû être rigolo et c’est comme qui dirait communicatif par moments.
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