
Trois personnages, un très très méchant et deux très gentils. A partir de ça, il y a des nuances et des complexités qui font que l’histoire est assez dure à supporter. C’est une histoire très dure, qui se termine tragiquement par la mort des deux gentils et par la survie du méchant (…) C’est une fin pas très morale, puisque le méchant reste impuni. — Jacques Rouffio