Jolie daube que ce western des années soixante où les Indiens (amers) n’ont pas plus d’épaisseur qu’au temps du muet, où les péripéties se succèdent mécaniquement et où une poignée de blaireaux mettent des centaines de Sioux en déroute au lendemain de Little Big Horn, comme s’il fallait faire oublier la branlée infligée à Custer. Jolie daube, mais pauvre daube.

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