Lorsque le Riot Club se réunit pour son banquet annuel, la réalisatrice provoque une sorte d’électrochoc. Appliquant les leçons de son compatriote Lars von Trier, elle orchestre une terrible lutte entre classes sociales, tout au long d’un repas-règlement de comptes (…) Avec cette critique du pouvoir et de l’argent, seules valeurs du Riot Club, en définitive, le film prend une dimension sombre, mais mordante et réjouissante. — Frédéric Strauss

It’s all quite superficial, but never less than gripping, and is aided by an ending that at least doesn’t compromise too much. — Tomas Hachard

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