Claude Makovski n’a réalisé qu’un film, et, dans le genre divertissement, il a parfaitement réussi. Il passe de la comédie au polar avec une désinvolture qui rend allègre une intrigue tortueuse. Comme dans Le Grand Sommeil, on se perd avec délice dans les labyrinthes de l’enquête. Par leur fantaisie et leur humanité, par leurs excès rabelaisiens, les acteurs tirent le thril­ler souffreteux vers la comédie gaillarde. — Philippe Piazzo

Un film sympatoche. — Renaud Soyer

— Man muss gefärlich leben.
— Pardon ?
— “Il faut vivre dangereusement”.
— …
— C’est Nietzsche qui a dit ça.
— …
— Le grand Nietzsche.

Leave a comment