J’étais encore à Paris, employé au ministère de la Justice. Je m’ennuyais. Bouvier, lui, allait commencer sa sanglante carrière. 1893 : j’avais encore cinq ans à attendre, avant de le rencontrer.

Le film de Bertrand Tavernier réussit le tour de force de faire adhérer le spectateur au personnage de Galabru, qui l’habite de la force d’une nature dévoyée mais sincère, ce qui le rend en quelque sorte innocent. Au détriment d’un juge motivé par le pouvoir, manipulateur, et qui s’est perdu par ses méthodes. — Christian Guéry

Ton assassin, éternellement reconnaissant. — Galabru à Tavernier

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