
Desperate for men during the last days of the War Between the States, the South found it necesssary to offer pardons to outlaws to carry out special assignments. Strange dark figures rode under the flag of the Confederacy.
Roger Corman, pour son premier film, prouvait qu’avec l’aide d’un scénario plutôt bien construit, de personnages fortement caractérisés et de dialogues efficaces et cinglants, on pouvait maintenir l’attention du spectateur soixante-quinze minutes durant sans avoir recours à trop d’action et malgré un certain bâclage technique (…). Pour résumer, nous avons une stricte économie de moyens (peu de décors, d’action et de figurants) qui n’empêche pas la tension dramatique de s’installer, le maintien d’un suspense assez efficace, quelques ingénieuses idées scénaristiques et de mise en scène pour un divertissement au ton âpre et peu glamour (…). Five Guns West n’avait de toute manière aucune autre prétention que d’être une récréation pour le public du samedi soir. Mission plutôt réussie ! — Erick Maurel