Il y a au moins trois problèmes : un bug mahousse dans le scénario, d’une incohérence rare ; le dénommé Clavier qui joue péniblement son unique partition, misanthropie et hystérie ; la lourdeur avec laquelle on exploite les quiproquos découlant de la surdité d’un zigue et de la cécité d’une nana. A part ça ? Catherine Frot est parfois touchante, deux-trois répliques sont bien rigolotes… Pfff.

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