Jasmine parle toute seule ou à n’importe qui. Elle a souvent les larmes aux yeux et la sueur au front. Elle a tout le temps envie d’une vodka-Martini. Elle manque d’air et s’applique à inspirer profondément, comme le conseillent les psys. C’est un personnage pathétique et spectaculaire, risible et bouleversant. Il n’y a que Woody Allen pour tenir cet alliage instable pendant tout un film. C’est même une vertu qu’il cultive avec le temps, et porte aujour­d’hui à un degré de maîtrise sensationnel. — Louis Guichard

A good Woody Allen flick is a thing of joy these days and, at times, Blue Jasmine is even a great one, close to being an equal to 2005’s Match Point. — Susan Wloszczyna

Leave a comment