
Voilà ce qui s’appelle du beau travail. Un documentaire à la fois riche et sensible, bien balancé et surprenant, qui rend hommage avec tact à un homme qui n’aimait pas les cons, ce qui fait du monde. On croit connaître le jongleur de mots hors pair, dialoguiste de 111 films, mais ce documentaire va plus loin que l’habituel portrait du prolo-anar, symbole d’une France à son aise entre bouffe qui tient au corps, potes qui se la jouent et bagatelle avec de jolies blondes. — Alain Constant
o o o o
Qu’est-ce qui nous prend, Michel, de mourir comme des cons, nous qui pourtant savions vivre ? — Frédéric Dard, 1985.