Le propos du film n’étant pas de soulever de lourds problèmes de société, on se contentera d’un marivaudage post-moderne plutôt habile, qui volète et papillonne au gré de nos petites manies, et d’un casting premier choix. — Grégory Alexandre

Cousu de fil blanc, certes, aquoiboniste, aussi, Le Coût de la vie n’en est pas moins un joli film, maintenu sur la corde raide à force de bons choix de mise en scène et d’acteurs investis dans leur obsession monétaire et leur fétichisme fiduciaire respectifs.Antoine de Baecque

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