À cette époque, Jerry Lewis est toujours associé avec Dean Martin, mais, tandis que Dean se cantonne dans ses rôles de séducteur pour midinettes, Jerry perfectionne de film en film ses interventions clownesques et commence à imposer son personnage. Tout au long de ce Galop du diable, il dame le pion à son partenaire (…) Les signes annonciateurs d’un Jerry Lewis maître de son génie comique et bientôt auteur à part entière éclatent ici comme des pétards. Ils ne suffisent pas, malheureusement, à faire oublier une intrigue insipide, les roucoulades de Dean Martin et la mise en scène conventionnelle. — Le Monde

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