Hiner Saleem se plaît ici (…) à chambouler les repères. Il s’en donne visiblement à cœur joie, mêlant les genres (comédie, polar, romance, drame social et politique), multipliant les références cinématographiques, faisant entrer l’esprit d’Agatha Christie dans un univers de l’absurde, où le rocambolesque se fond à la mélancolie. Qui a tué Lady Winsley ? se perd parfois dans ce foisonnement, privant le film d’une assise, d’un centre auquel se rattacher. Il y trouve aussi une matière à malice qui le rend proprement réjouissant. — Véronique Cauhapé

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