
Classique dans sa forme, La Belle Saison bouscule le cœur. Dommage que le mot « mélo » soit si dangereusement connoté, car c’en est un, irrésistiblement bouleversant, nourri par la complémentarité de deux caractères. — Pierre Vavasseur

Classique dans sa forme, La Belle Saison bouscule le cœur. Dommage que le mot « mélo » soit si dangereusement connoté, car c’en est un, irrésistiblement bouleversant, nourri par la complémentarité de deux caractères. — Pierre Vavasseur