— Oh, Mom, all they want is my body!

Il eût fallu un Cukor, un Minnelli, pour mener à bien l’entreprise. Nous avons eu Gordon Douglas, qui est un très honnête artisan, mais qui ne possède pas la moindre once de folie. Entre ses mains, le film extravagant et cruel dont nous rêvions est devenu une consciencieuse biographie sentimentale. D’Hollywood on ne nous offre qu’une image platement conventionnelle, et de Jean Harlow un “portrait” qui rappelle les “révélations” à la fois alléchantes et prudentes que l’on peut lire dans certaines feuilles spécialisées. — Jean de Baroncelli

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