
La guerre de Sécession n’est que la toile de fond d’une aventure aux mille péripéties, où se mêlent l’Histoire et l’amour, l’honneur et le danger. Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois. L’Esclave libre est également pour le cinéaste l’occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances, mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions. — André Moreau
Walsh is adept as always and it is also notable as one of Clark Gable’s last films. A young Sidney Poitier impresses. Certainly worth viewing. — Gary W. Tooze