Malgré son souffle court et ses médocs à prendre, notre père à tous retrouve peu à peu ses capacités. Il décrypte mieux que quiconque les cassettes de vidéo­surveil­lance, nargue les autres flics, dégaine en pleine rue un fusil à canon scié, prône l’amour multiracial dans les bras d’une Latino… Le tout de manière posée, mais avec une voix de plus en plus étouffée, sans timbre, limite poitrinaire. Bilan : thriller poussif à l’échelle d’East­wood, parfaitement regardable au vu de ce qui se fait ailleurs. — Jacques Morice

— So why do you live on a boat?
— Because I hate mowing lawns.

Leave a comment