Le plus pénible, ce n’est pas la technologie tape à l’œil, ni l’immanquable romance entre les deux vedettes, ni le complot politico-mafieux à deux balles, ni le sadisme de l’affreux qui fait du mal à Fanny Cottençon (il va morfler quand même, celui-là, si on le croise…). Non, le plus pénible, c’est la zizique d’époque et son rythme balourd, une sauce tellement toquarde qu’on pourrait se croire dans une parodie.

Leave a comment