Shot in black-and-white, Mario Bava‘s The Girl Who Knew Too Much (a.k.a. The Evil Eye, 1963) is an example of giallo, or a kind of stylish, yet pulpy thriller with sexy and sometimes comic overtones. It’s a bit plot-heavy for Bava, but it’s still beautifully filmed.Jeffrey M. Anderson

Du film on retiendra surtout l’admirable mise en scène et son traitement photographique. Le génie de Bava explose dans ses cadres et ses éclairages tranchés. L’inquiétante obscurité de la nuit nous plonge dans l’angoisse et s’oppose aux rassurantes balades dans une Rome inondée de soleil. Mario Bava par le traitement baroque qu’il applique aux événements tragiques vécus par Nora prolonge notre impression de cauchemar et maintient jusqu’au bout l’ambiguïté sur la réalité des faits.Olivier Gonord

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