
Un récit conté par Sandrine Kiberlain, dont la voix douce et la belle diction accompagnent, par un montage bien mené, des films de famille, extraits d’émissions de télévision ou de radio, concerts, photographies, films d’actualité ou de films du 7e art. Et, c’est plutôt rare dans les documentaires sur la musique, les interprétations de chansons par Brassens prennent le plus souvent le temps de leur durée. — Sylvain Siclier