
En résumé, Marilù piaille comme une pétasse hystérique, Bedos bégaie et tombe dans les pommes toutes les trois minutes, Marais et Chaplin fils en font des caisses pour qu’on oublie qu’ils ont deux fois l’âge de leur rôle, les péripéties sont ineptes, les ficelles énormes, les bastons tournés au ralenti et les cascades mollassonnes. On en reste bouche bée : cette daube est admirable, exemplaire, digne du Pavillon de Breteuil.