Nul besoin de sortir les violons, la mise en scène ample et nerveuse de Marchal, couplée à une interprétation exemplaire et un rythme trépidant, se charge de véhiculer l’essentiel, entre reconstitution épique des glorieuses 70’s, violence des sentiments exprimés et récit de vengeance implacable. — Frédéric Wullschleger

Une histoire aux petits oignons, mais des passages inutilement démonstratifs dans le genre grands principes de la truanderie et amitié virile. Alors moi, je dis dommage. Parole d’homme.

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