
Avec Les Cœurs verts, Luntz introduisait les blousons noirs dans le cinéma français. Le film retint l’attention et plaça son réalisateur parmi les cinéastes à suivre. Le policier et le para du Dernier saut sonnaient déjà moins juste et le film fut fraîchement accueilli. A tort, car il conserve aujourd’hui encore, grâce à Michel Bouquet et Maurice Ronet, un curieux pouvoir de fascination. — Jean Tulard, 1992.