
L’un des plus grands succès commerciaux du cinéma français des années 30. Bon exemple de la capacité de ce cinéma à susciter, à côté des adaptations théâtrales et des œuvres originales des grands auteurs, des produits de consommation courante, efficaces et impersonnels (…). Chenal a beaucoup pesté contre la fin heureuse, imposée par le producteur. On peut se demander s’il a eu raison. A film conventionnel, fin conventionnelle. Un dénouement tragique aurait détonné par
une gravité que le reste du film n’a pas. — Jacques Lourcelles