
Troisième long métrage parlant d’Hitchcock et l’un des titres majeurs, non seulement de sa période anglaise, mais aussi de l’ensemble de son œuvre (…). Fondé sur un va-et-vient constant entre l’art et la réalité, le théâtre et le fait divers, avec une référence explicite à Hamlet, Murder! place ses personnages dans un déséquilibre vertigineux entre leur liberté d’une part et, d’autre part, la fatalité de leur destin et du rôle qui leur est imparti en ce monde. — Jacques Lourcelles