Un polar mélancolique, presque lancinant, où action et intrigue passent nettement au second plan (…). Un film sentimental et romantique, qui d’ailleurs n’est pas toujours pleinement convaincant. Un film qui ne juge pas, qui ne glorifie pas l’héroïsme ou le courage. La Cité des dangers ne s’intéresse quasiment pas à l’enquête qui se déroule sans réelle investigation et ne produit ni surprise ni suspense. Il n’y a quasiment aucune scène d’action, aucune poursuite. Aldrich est seulement intéressé par ses personnages, la description de leur milieu et de cette ville vorace. Il ne se sert du genre que comme d’un cadre dont il se plaît à modifier les contours. — Olivier Bitoun

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