
Les différentes invraisemblances scénaristiques anéantissent les efforts de Schoendoerffer (…). Si ce bras de fer musclé demeure efficace, on aurait préféré plus de subtilités (…). Par une résolution finale sous influence des tragédies théâtrales et par une intrigue secondaire inutile, 96 Heures laisse un arrière-goût de déception. — Christophe Brangé