
Dans un papier paru fin 1967 dans Filmblätter, le/la critique G. Schmidt exprime tout à merveille (bien mieux que nous ne saurions le traduire in extenso) : l’intérêt d’acteurs de divers pays pour le passionnant personnage de Maigret, esprit vif et bon vivant, l’interprétation à base de mimiques de Gino Cervi, la bienveillance dont le public doit faire preuve pour tenir la distance, le dialogue un brin envahissant, le recours routinier au flash-back, la beauté magnétique de José Greci, le talent évident de Lila Kedrova et, hélas, le manque global de rythme comme de qualité de ce polar méli-mélo.