
Sauf à être soi-même un fameux cave, difficile de hurler de bonheur face à ce truc plan-plan. Pour autant, une jolie brochette de seconds rôles peut inciter à une certaine tolérance à l’égard d’une histoire pâlotte filmée sans étincelles. Et puis ce film donne à voir ce que la région de Bâle a produit de plus remarquable depuis plusieurs millénaires : la délicieuse Marthe Keller, plus chouette encore que les leckerlis, ce qui n’est pas peu écrire.