
C’est la grande frousse, c’est la grande peur
Prenez garde à l’inspecteur, son père était dans la police
Son oncle aussi, même sa nourrice
Ah quel destin, ah quel destin !
C’est un gentil, c’est un coeur tendre,
Mais vous ne perdez rien pour attendre
Bourvil, c’était mon frère […]. L’idée, c’était de prendre Bourvil avec de vieux acteurs […] : Jean-Louis Barrault, Raymond Rouleau, Victor Francen, [Roger] Legris […]. On voulait donner au film un côté fantastique, comme ça se passait en France et qu’il n’y avait eu que quelques films fantastiques, dont L’Assassinat du père Noël, Les Disparus de Saint-Agil, des trucs comme ça, du Pierre Véry, Goupi Mains-Rouges […]. Aucun de mes films ne me ressemble — d’ailleurs, aucun de mes films n’est bon, ahahah. — Jean-Pierre Mocky