
Voici ce que donna un de ces caprices d’Howard Hughes dont on a tant causé : une bancale comédie d’espionnage et d’amour sur fond de guerre froide. Deux heures d’hommage appuyé à l’aviation et à la plastique de l’admirable Janet Leigh, impliquée dans des scènes étonnamment érotiques pour l’époque. De quoi digérer certaines des invraisemblances multiples dont l’intrigue est truffée.