
Tout cela est, de fait, plutôt sombre et manigancé, mais selon la touche Lelouch, à savoir que la noirceur y est d’une joyeuse douceur, que la manigance se prend les pieds dans l’invraisemblance feuilletonesque et que les acteurs sont visiblement heureux de renchérir à la limite de la caricature sur leurs qualités répertoriées, qu’il s’agisse du pathos fatal de Fanny Ardant ou de l’inquiétante étrangeté de Dominique Pinon. — Jacques Mandelbaum, 2007.