
Que reste-t-il des billets doux
Des mois d’avril
Des rendez-vous
Un souvenir qui me poursuit sans cesse
Bonheur fané
Cheveux au vent
Baisers volés
Rêves mouvants
Que reste-t-il de tout cela
Dites-le moi
Une chronique entière ne suffirait pas à énoncer les charmes et les qualités secrètes de ce chef-d’oeuvre de désinvolture et de tendresse, de blague et de souffrance, de pudeur et d’éclatante beauté […]. Je n’ai rien dit du film. C’est qu’il m’enchante au sens littéral du terme et qu’il est difficile de dire les raisons d’un enchantement. — Patrice Hovald