Elle dansait avec un hidalgo
Au temps du temps du temps
du temps du temps du tango
Elle dansait avec un Roméo
Au temps de l’exposition inter-na-tio-nale
Elle danse maintenant chez Potel et Chabot
Elle a toujours la danse la danse la danse dans la peau
Mais y’a plus d’hidalgo, y’a plus de Roméo
Elle ne danse plus qu’avec un lumbago

Cette comédie de mœurs ne vaudrait franchement pas grand-chose si elle n’avait pu bénéficier de la présence à son générique de l’incomparable Annie Girardot ! Ici, tout est question de casting (et de premiers rôles). Elle y est superbe et prouve aux derniers sceptiques que sa palette de jeu recouvre toutes les émotions. C’est peu dire qu’elle sauve le film : il ne vaut que pour elle. Elle est belle, elle est fatiguée, elle est séduisante, forte, coquine, timide et amoureuse, triste et sarcastique : elle est tout et elle peut tout […]. C’est par elle qu’on vibre et c’est pour elle qu’on reste. — Gaell B. Lerays

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