
C’est LE film, le nanar du quatrième type, celui qui n’endort pas, qui n’amuse pas, qui n’agace pas, mais qui laisse le spectateur bouche bée, la mâchoire inférieure pendante, la bave aux lèvres, l’œil hagard, durablement éberlué qu’il est, le pauvre, par un enchaînement soutenu d’âneries, d’approximations et d’outrances comme il n’y en eut que très peu depuis l’invention du cinoche.