Hé quoi ! Réaliser une comédie sur l’Occupation et les préparatifs du Débarquement en Normandie, quelque vingt ans après les faits et tandis que ne se succédaient jusqu’alors sur ce sujet que drames et reconstitutions crépusculaires, voilà qui ne manquait pas d’audace ! Juste avant la triomphale Grande Vadrouille, Jean-Paul Rappeneau, à tout juste 33 ans, ouvrait donc la voie aux rires, à la satire, à cette forme d’élégance gourmande que sont l’humour et la légèreté, sur un sujet pourtant peu consensuel — l’héroïsme et l’engagement — et trouble de toute façon. En France, c’était tout à fait nouveau.Ariane Allard

Situations saugrenues, quiproquos, courses-poursuites s’enchaînent à un rythme soutenu, agrémentés de marivaudages galants ; l’histoire semble toujours rebondir pour notre plus grand plaisir. La Vie de château est une comédie brillante, délicate, profonde. — Lui

Un remède à la morosité, indispensable et pétillant. — François-Olivier Lefèvre

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