John Carney, artisan du feel good movie pour amoureux de la pop, s’inspire ici de sa jeunesse. Cet aspect autobiographique contribue au charme et à la justesse de son film. Au-delà de la bluette et du plaisir de vibrer au son des chansons de Duran Duran, de Hall & Oates ou des Cure et de leurs pastiches (composés par Bono et The Edge !) qui peuplent la bande-son, il y a la peinture attachante d’une famille en crise et de la vie à Dublin dans les années 1980.Nicolas Schaller

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