Un de ces films très très laborieux dont les spécialistes du navet sont les seuls à se souvenir. Serrault lui-même ne fit que les survoler dans ses mémoires, juste pour écrire qu’il ne les reniait pas, tout en admettant qu’ils “ne font pas, on le devine, l’objet de tous les soins à la Cinémathèque”. Attention toutefois, certaines séquences sont tellement mal foutues qu’elles en deviennent quasiment insoutenables, même aux yeux d’un public très tolérant.

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