
Cette “galéjade tragique” à prétention moralisatrice, où l’on se demande qui l’emportera, de la sottise ou de la puérilité, est un prodigieux navet encore plus raté que les tableaux barbouillés par Fernandel en peintre du dimanche qui se prend pour Van Gogh et abandonne sa famille. On s’ennuie ferme devant ce festival de “mots d’auteur” sans la moindre trace d’humour, ce salmigondis de séquences absurdes, totalement extérieures à l’action et d’images banales. — Jacques Lorcey