On peut quand même être heureux sans pognon
Quand dans la vie on a un compagnon
On apprécie mieux le bonheur
L’un près de l’autre
Les maudits jours sont bien meilleurs
L’un près de l’autre
Toi d’un doux regard tu chasses mon cafard
Moi de mon béguin je guéris ton chagrin
Restons pour ne pas gâcher ce bel amour
L’un près de l’autre pour toujours
L’un près de l’autre pour toujours

Le film est en prise directe sur l’époque, prête à s’attendrir sur l’enfance malheureuse, sur les conditions de vie précaires. L’intérêt le plus vif d’
Abus de confiance réside dans le regard porté sur ce Paris de chambres tristes, de cimetières, de Luna-Park et de rues mouillées où l’on croit encore deviner la silhouette furtive de Violette Nozière. — Raymond Chirat

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